Publié par admin le 21 avr 2010
Maxime Guay, Constantin Guay insolvables de père en fils!!
La famille Guay, très « réputée » dans le monde de l’art et surtout auprès des tribunaux, organise son insolvabilité en jonglant entre les différentes sociétés gérées par les membres de la famille.
A titre d’illustration, Maxime Guay, le père et Constantin Guay, le fils, fidèles à leurs habitudes, n’ont pas respectés les engagements d’un contrat d’impression que j’avais signé en 2005 avec Constantin Guay (société Amplitude) et Maxime Guay dans le rôle du « commercial ».
J’ai donc portĂ© plainte en 2006 et les ai poursuivis au civil. Le procès qui a durĂ© trois ans et demi  a conduit Ă un jugement en ma faveur prononçant la rĂ©solution du contrat Ă leur torts et les condamnant conjointement Ă me restituer les fonds que j’avais versĂ©s + les intĂ©rĂŞts pour le retard. Â
Ni le fils, ni le père n’a fait appel de ce jugement de sorte que je me trouve théoriquement en droit de récupérer mes fonds.
Mais Maxime Guay, (RMIste), interdit de gestion et en faillite personnel le est insolvable d’office, quant à Constantin Guay, il a, comme par hasard pour échapper au payement des sommes dues, mis  « en sommeil » et vidé le compte bancaire sa société d’imprimerie « AMPLITUDE ».
En parallèle, l’activité de la société AMPLITUDE a été,  transférée dans une autre société « ABYSSE », créée à cet effet avec la complicité de sa sœur Marie Guay (Finot) qui en est la gérante.
L’arrêt de l’activité d’AMPLITUDE et par conséquent l’absence de versement sur le compte bancaire de la société condamnée permet de ne plus être en mesure de payer et même en cas de saisie bancaire. On se débarrasse ainsi de ses créances. C’est un peu trop facile !!!
 … et on peut, sans scrupule, continuer à encaisser tranquillement des milliers Euros (venant de pauvres artistes qui se font avoir) sur les comptes d’autres sociétés crées entre temps et gérées par les autres membres de la famille !
Dans ce cas, l’alternative  pour le créancier est soit de se dire : « je me suis fait avoir » et laisser tomber, soit de continuer de poursuivre ces personnes mais autrement.
Quand une société, condamnée en justice, n’est pas en mesure de payer ses dettes, le créancier peut ainsi engager une procédure de liquidation de société au pénal ce qui peut conduire à l’interdiction de gestion des gérants (ainsi que de leurs complices ayant permis d’organiser l’insolvabilité) et à la mise à plat de tous les biens des personnes physiques et morales (sociétés) concernées : Maxime Guay, Constantin Guay, Marie Guay ; je ne les lâcherai pas !!
ARTISTES ATTENTIONÂ !!!
Leurs expositions sont organisées sous des noms de sociétés qui mutent comme les virus pour éviter de se faire attraper. Cela veut dire que le temps de faire un procès, ils auront déjà transféré l’activité sur une autre structure et seront devenus  insolvables en vidant les comptes des sociétés précédemment condamnées et mises en inactivité!
Pour cette raison, je déconseille un procès au civil. Le seul moyen de stopper ces malfrats est de les faire condamner au pénal pour les empêcher d’exercer leur métier.
Regroupez- vous pour porter plainte au pénal, auprès du Procureur,  évitez d’être « classé sans suite » en ne déposant qu’une plainte de façon isolée.
S’ils ont exercé aussi longtemps dans l’impunité c’est parce que le préjudice de chaque affaire (chaque plainte individuelle d’artiste) n’est pas assez important pour intéresser le Procureur, c’est pour cela qu’il sont passés à travers les mailles du filet jusqu’à maintenant.
Attention! Des publicitĂ©s pour”BIENNIAL OF CONTEMPORARY ARTS”(NY), “Les Grands MaĂ®tres de demain”(Louvre), “Carre VIP”(Shanghai, Ă l’occasion de L’EXPOSITION UNIVERSELLE 2010) sont envoyĂ©es actuellement aux artistes.
J’autorise tous les artistes Ă publier mon tĂ©moignage et mise en garde sur leurs sites, blogs et forums ou Ă crĂ©er  un lien.Â