Publié par pages le 04 mai 2013
Archive de la catégorie 'ARTICLE de PRESSE'
Publié par pages le 04 avr 2012
54ème Salon des BEAUX ARTS de Cormeilles en PARISIS, invitĂ©e d’honneur
Publié par pages le 24 oct 2011
Espace VERA Centre Culturel de la Ville de Saint Germain en Laye, exposition personelle de tableaux du 19 novembre au 18 décembre 2011
Publié par pages le 12 mai 2010
Deux marchands d’art Ă©crouĂ©s pour escroquerie-Maxime Guay et son fils Constantin Guay sont….
article Le Courrier des Yvelines du 12mai 2010 Hebdo n°3386 Edition Saint Germain en Laye
et aussi:
article journal : « la dépèche du midi», Tarn Publié le 12/05/2010 09:41 | P.-J. P.
http://www.ladepeche.fr/article/2010/05/12/833772-Le-galeriste-vereux-en-detention.html
Publié par pages le 07 mai 2010
Maxime Guay, Constantin Guay écroués par la PJ de Versailles
Maxime Guay, son fils Constantin Guay et leur ancien directeur des expositions Ă©tant soupçonnĂ©s d’escroquerie ont Ă©tĂ© mis en examen mardi 11 mai 2010 par la Police Judiciaire de Versailles.
Un juge d’instruction a été nommé. Une commission rogatoire va poursuivre l’instruction et préparer le procès à venir. 148 plaintes sont réunis. Les plaignants recevront les instructions en fur et à mesure de l’avancement
de l’affaire. L’association se chargera de communiquer avec le monde artistique et les
médias sur l’avancement de l’affaire. Ci-joint un premier article paru le 7-5-2010 dans le Parisien.
Publié par admin le 21 avr 2010
Maxime Guay, Constantin Guay insolvables de père en fils!!
La famille Guay, très « réputée » dans le monde de l’art et surtout auprès des tribunaux, organise son insolvabilité en jonglant entre les différentes sociétés gérées par les membres de la famille.
A titre d’illustration, Maxime Guay, le père et Constantin Guay, le fils, fidèles à leurs habitudes, n’ont pas respectés les engagements d’un contrat d’impression que j’avais signé en 2005 avec Constantin Guay (société Amplitude) et Maxime Guay dans le rôle du « commercial ».
J’ai donc portĂ© plainte en 2006 et les ai poursuivis au civil. Le procès qui a durĂ© trois ans et demi  a conduit Ă un jugement en ma faveur prononçant la rĂ©solution du contrat Ă leur torts et les condamnant conjointement Ă me restituer les fonds que j’avais versĂ©s + les intĂ©rĂŞts pour le retard. Â
Ni le fils, ni le père n’a fait appel de ce jugement de sorte que je me trouve théoriquement en droit de récupérer mes fonds.
Mais Maxime Guay, (RMIste), interdit de gestion et en faillite personnel le est insolvable d’office, quant à Constantin Guay, il a, comme par hasard pour échapper au payement des sommes dues, mis  « en sommeil » et vidé le compte bancaire sa société d’imprimerie « AMPLITUDE ».
En parallèle, l’activité de la société AMPLITUDE a été,  transférée dans une autre société « ABYSSE », créée à cet effet avec la complicité de sa sœur Marie Guay (Finot) qui en est la gérante.
L’arrêt de l’activité d’AMPLITUDE et par conséquent l’absence de versement sur le compte bancaire de la société condamnée permet de ne plus être en mesure de payer et même en cas de saisie bancaire. On se débarrasse ainsi de ses créances. C’est un peu trop facile !!!
 … et on peut, sans scrupule, continuer à encaisser tranquillement des milliers Euros (venant de pauvres artistes qui se font avoir) sur les comptes d’autres sociétés crées entre temps et gérées par les autres membres de la famille !
Dans ce cas, l’alternative  pour le créancier est soit de se dire : « je me suis fait avoir » et laisser tomber, soit de continuer de poursuivre ces personnes mais autrement.
Quand une société, condamnée en justice, n’est pas en mesure de payer ses dettes, le créancier peut ainsi engager une procédure de liquidation de société au pénal ce qui peut conduire à l’interdiction de gestion des gérants (ainsi que de leurs complices ayant permis d’organiser l’insolvabilité) et à la mise à plat de tous les biens des personnes physiques et morales (sociétés) concernées : Maxime Guay, Constantin Guay, Marie Guay ; je ne les lâcherai pas !!
ARTISTES ATTENTIONÂ !!!
Leurs expositions sont organisées sous des noms de sociétés qui mutent comme les virus pour éviter de se faire attraper. Cela veut dire que le temps de faire un procès, ils auront déjà transféré l’activité sur une autre structure et seront devenus  insolvables en vidant les comptes des sociétés précédemment condamnées et mises en inactivité!
Pour cette raison, je déconseille un procès au civil. Le seul moyen de stopper ces malfrats est de les faire condamner au pénal pour les empêcher d’exercer leur métier.
Regroupez- vous pour porter plainte au pénal, auprès du Procureur,  évitez d’être « classé sans suite » en ne déposant qu’une plainte de façon isolée.
S’ils ont exercé aussi longtemps dans l’impunité c’est parce que le préjudice de chaque affaire (chaque plainte individuelle d’artiste) n’est pas assez important pour intéresser le Procureur, c’est pour cela qu’il sont passés à travers les mailles du filet jusqu’à maintenant.
Attention! Des publicitĂ©s pour”BIENNIAL OF CONTEMPORARY ARTS”(NY), “Les Grands MaĂ®tres de demain”(Louvre), “Carre VIP”(Shanghai, Ă l’occasion de L’EXPOSITION UNIVERSELLE 2010) sont envoyĂ©es actuellement aux artistes.
J’autorise tous les artistes Ă publier mon tĂ©moignage et mise en garde sur leurs sites, blogs et forums ou Ă crĂ©er  un lien.Â
Publié par pages le 27 dĂ©c 2008
INTERVIEW magazine “fashionledge” USA
Ute Hadam
Written by Yvette N. Coleman
“One day while I was browsing the internet searching for possible art for my collaborative book (Kinks…Connected at the Roots.) I didn’t have anything specific but I knew it was going to “just hit me.” Not long into my search I came across “Waiting” - - a silhouette of a woman in abstraction. From that moment I knew that Ute Hadam’s art would speak to me. Her art had just “hit me!” I reviewed more of her work and each piece was significantly more beautiful and intricate. Her art is very soulful and natural with endless possibilities on the human form. Â
Ute Hadam’s compositions are free and strike the right balance between light and dark on all subjects so that one has to inspect each inch of the canvas. I reached out the Ute to inquire about being available for the cover of Kinks, with the time difference of the UK I was on pins and needles for her reply. I had to know more about her and her perspectives; I wanted her soulful feminine and sensual interpretations to represent the core of my book project. She was inviting and pleased to be apart of the project and made the cover customized to myself and my co-author Amera Douglas. In the time to come I had a chance to learn more about Ute Hadam and I wanted to introduce my audience to her works of expression.”
voir l’article dans son intĂ©gralitĂ©:
http://www.fashionledge.com/articles/08/dec/ute.hadam/index.php
illustration de la page couverture du livre de poésie et nouvelles du même auteur, voir lien